Flash Cathy: son témoignage (George 1ere partie)
Publié le 6 Décembre 2008
La musique a retenti et mon cœur s’est mis à battre de plus en plus vite. J’avais l’impression de l’entendre battre en dehors de ma poitrine. J’ai serré mes mains et ai attrapé celle de mon mari et il a dit : »here i ammmmmm » et j’ai dit très fort « je suis là aussiiiiiiiii ». Mon mari m’a dit « qu’est ce que tu dis ? » je lui ai dis que j’étais là aussi. Il a souri et m’a dit « Dieu t’a donné un cerveau, mais tu as perdu la tête ».
La plupart des gens étaient debout, je ne
le quittais pas des yeux pendant qu’il chantait sans un mouvement, pendant « waiting » puis Fastlove . Quand « I’m your man » a commencé, le son était plus fort et tout le
monde était excité, George nous a tous réveillé après le départ d’Alicia, tout le monde tapait dans les mains et chantait avec lui, se déhanchant, moi aussi, et même mon mari. Wowwwwwwwwww,
quelle nuit tu nous as offerte George, j’en pleure encore à mon bureau en écrivant ces lignes .
Entre deux chansons, il a dit qu’Abu Dhabi était magnifique. George est arrivé sur scéne avec beaucoup de force et d’énergie telles que je n’en avais pas vu autant pour la tournée américaine.
Peut-être parce que là je le vois en vrai et non pas sur un écran. Il était comme un ange qui chantait sur scéne survolant la scéne d’un côté à l’autre. Quel homme, quel chanteur, George, pour
nous tu es un énorme cadeau de Dieu. Dans une de ses chansons, je me suis rassise et j’ai commençé à pleurer. Mon mari m’a dit « eh retiens toi, pas ici, tu es là pour t’amuser pas pour
pleurer ». J’ai retenu mes larmes très vite, je me suis occupée à prendre des photos. A chaque fois qu’il attaquait une autre chanson, les gens étaient de plus en plus excités, tout le monde
dansait dans le stade, c’était très joyeux, comme un jour au paradis de George.
George a été fabuleux à chaque instant. Il est fantastique, séduisant, son ame couvrait tout le stade.
Kenny, tu es l’homme le plus chanceux du monde, vous êtes les amoureux les plus chanceux du monde. S’il te plait, continues à rendre George heureux comme tu le fais depuis le début de votre histoire.
Je continuerai de vous raconter après avoir quitté le bureau.